Moi j'ai juste une corde qui à 15m et je m'en serre pour tout j'ai pas une autre corde pour remorquer j'avais tiré un plus gros bateau que le mien et par bout bien c'est que c'est difficile de resté toujours bien centré au devant contenu qu'on ne peut voir le bateau sans se retourné quand il part de travers un peut la corde se rédie et ça donne un coup et ça tant la corde assé pour que le bateau parle un peu et que la corne ramollisse et plus elle et longue et plus elle trine dans l'eau et ralentie le remorqueur moi dans se cas la jusqu'à ce que je reprenne le mou et soit bien devant le bateau donc rien ne serre d'en avoir trop long par contre il faut en avoir suffisamment pour ne pas se faire entré dans le derrière si le bateau d'en arrière par à surfé.

merci pour vos commentaires!

On est toujours réglementaire en ayant une corde de 50pi. à bord.  Le but de ma question est de connaître vos opinions sur la longueur de corde idéale spécifiquement pour le remorquage.  

Sur voilier, j'utilisais pour récupérer l'Homme à la mer, d'une tresse de remorquage de skieur nautique, qui a l'avantage de flotter et d'amortir les chocs. Pensez vous que cela soit pertinent pour tirer un kayak? Il me semble que l'amortisseur tel que décrit dans lien soit indispensable.

   Les tutoriels propose des nœuds qui schématiquement réduisent la résistance du cordage de la moitié. En choisissant de la tresse et en sortant ses aiguilles creuses, un peu de matelotage évitera cet inconvénient.
   J'ai bien noté que la proximité entre les kayakistes facilitait la communication... mais aussi les chocs. Au paléolithique, (mon adolescence),  les cordages étaient en coton ou en sisal, lors de remorquage, on utilisait entre des voiliers de plusieurs tonnes, une longueur telle que le tracté était à une distance de longueur d'onde des vagues afin d'éviter que le remorqué ne s'approche trop du remorqueur (l'amortisseur était un pneu).
J'ai à plusieurs reprises dû tracter avec mon skiff le runabout (960 Kg) d'un ami. Le bout frappé à l'arrière du cockpit ne laissait que 7 m entre les embarcation. C'était sur lac, en eau plate, à plusieurs reprise l'élasticité du nylon m'a rappelé dangereusement près de sa coque lors de démarrage trop fougueux.
    Avec un kayakiste affaiblit qui ne peut guère contribuer aux manœuvres (nous avons récupéré depuis notre catamaran un véliplanchiste épuisé incapable de toute contribution), n'est il pas prudent de respecter cette distance? Cela évite les a coups.

   A la place de frapper le bout sur la ceinture, ne peut on pas équiper la lèvre du cockpit d'un anneau en Spectra (2 mm suffisent en choisissant une version performante) sur laquelle une boucle passe soit vers l'avant ou l'arrière, un renvoi vers l'axe du kayak en poupe on en proue complète alors le système qui sollicitera moins les lignes de vie qu'en frappe directe et épargnera le kayakiste tracteur?